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La fan euntèlèituyella

Comune: Aosta
Categoria: Scientifico

La fan, tcheut lo san, baille appetì. Pi lo travaille l’è deur, pi eun sen le crampe de la fan. Se l’è pi que normal que eun masón l’usse lo drouet de vouidjì lo réfrijérateur can tourne a mèizón lo nite, possen-dzò dére la mima bagga pe eugn eumployé ou eun étudiàn ? Malerezamente na, dimouente selón eunna résanta retsertse fite i Canada : belle eungn amettèn que lo travaille éntèlèituyel beurle de calorie, salla retsertse otorize pa a meundzì « aprì avèi travaillà » perqué la fan sarie maque eunna sensachón.
Comme l’è lo seucro lo carbouràn di nerone, can comenche a manqué, l’estomaque reclame : adón lo fénomèno de la stimulachón de la fan se developpe belle se l’énerjia beurlaye l’è caze nulla.
Le savàn dion de fére bièn attenchón : la fan que veun aprì eun travaille éntèlèituyel, condzeblaye a la mancanse de mouvemèn, farie omenté le personne grase, comme acapite todzor de pi deun noutra sosiétó.

Prèi su : www.focus.it, juillet 2008

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La fan euntèlèituyella

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Ita

La faim intélectuelle

Travailler, on le sait, donne de l’appétit. Plus le travail est intense, plus on sent les tiraillements de la faim. Si un maçon semble largement justifié à vider le réfrigérateur de retour le soir à la maison, peut-on dire la même chose pour un employé ou pour un étudiant ? Malheureusement non, au moins d’après les résultats d’une récente enquête canadienne. Cette recherche, tout en admettant que le travail intellectuel brûle des calories, n’autorise absolument pas de manger après avoir travaillé, s’agissant uniquement d’une sensation de faim.
Le sucre étant le carburant des neurones, lorsque celui-ci commence à manquer, on commence à demander à l’estomac de s’en occuper : par conséquent, le phénomène de stimulation de la faim se développe, même si l’énergie brûlée est presque nulle. Les chercheurs, en effet, donnent l’alerte: la faim poussée par le travail intellectuel, associée à un manque de mouvement, contribuerait à augmenter les cas d’obésité, phénomène de plus en plus répandu dans notre société.

Tiré de : www.focus.it, juillet 2008

Fra

La faim intélectuelle

Travailler, on le sait, donne de l’appétit. Plus le travail est intense, plus on sent les tiraillements de la faim. Si un maçon semble largement justifié à vider le réfrigérateur de retour le soir à la maison, peut-on dire la même chose pour un employé ou pour un étudiant ? Malheureusement non, au moins d’après les résultats d’une récente enquête canadienne. Cette recherche, tout en admettant que le travail intellectuel brûle des calories, n’autorise absolument pas de manger après avoir travaillé, s’agissant uniquement d’une sensation de faim.
Le sucre étant le carburant des neurones, lorsque celui-ci commence à manquer, on commence à demander à l’estomac de s’en occuper : par conséquent, le phénomène de stimulation de la faim se développe, même si l’énergie brûlée est presque nulle. Les chercheurs, en effet, donnent l’alerte: la faim poussée par le travail intellectuel, associée à un manque de mouvement, contribuerait à augmenter les cas d’obésité, phénomène de plus en plus répandu dans notre société.

Tiré de : www.focus.it, juillet 2008